Depuis ce mercredi 6 octobre, les gendarmes spéléologues s'affairent auprès du domicile de Delphine Jubillar, portée disparue depuis la nuit du 15 décembre 2020. Dans quelques semaines seulement, à la mi-octobre, Cédric Jubillar, son époux; Ils sondent donc les cavités dans une zone particulièrement difficile, Jusqu'alors, les fouilles n'ont rien donné mais se poursuivent.
"C'est un travail de fourmi", fait savoir François Daoust, ancien directeur de l'IRGN du pôle judiciaire de la gendarmerie. Un travail très compliqué en raison du grand nombre de cavités, d'excavations, et la présence de zones qui sont encore inexplorées. "On peut largement faire disparaitre quelqu'un et ne pas le retrouver tout de suite", a-t-il estimé. Déjà, en janvier dernier la mairie de Cagnac-les-Mines avait recensé tous les puits de l'espace public dans les alentours.